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Zoom sur les diagnostics obligatoires

Vous vendez ou louez votre bien immobilier ? Activ'Expertise vous guide ! Le tableau des diagnostics immobiliers vous indique ceux à réaliser avant une vente ou une location et leur durée de validité.

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Avis de nos clients

Découvrez ce que nos clients satisfaits disent de nos services de diagnostic immobilier.

Mathilde et Guillaume M.

Réactif et consciencieux, je recommande le travail de Monsieur Leclaire.

Marion B.

J’ai eu un rendez-vous rapidement pour le diagnostic de ma maison. M.Leclaire a été réactif, ponctuel, sympathique et clair dans ses explications. Tout s’est déroulé simplement et efficacement. Je recommande sans hésiter !

Mathieu M.

J’avais besoin d’un diagnostic électrique et un DPE en urgence dans le cadre d’un dossier de location. Mr Leclaire a été très réactif et très professionnel.

Activ'Expertise Ille-et-vilaine Ouest

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Nos dernières actualités

Découvrez notre blog et nos derniers articles sur les diagnostics immobiliers, la réglementation et les conseils pratiques.

À LA UNE
Diagnostic immobilier : repères sur les audits obligatoires en 2025
19 décembre 2025

Diagnostic immobilier : repères sur les audits obligatoires en 2025

Une année 2025 marquée par de nouveaux impératifs L’année 2025 a été déterminante pour le secteur du diagnostic immobilier, instaurant de nombreuses exigences inédites. Qu’il s’agisse de propriétaires ou de professionnels de l’immobilier, tous ont dû adapter leurs pratiques afin de répondre à un cadre réglementaire renforcé. Retour sur les dispositifs qui ont rythmé cette période de profondes transformations. Le Diagnostic de Performance Énergétique : quelles règles en 2025 ? Pièce maîtresse des transactions, le Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) a poursuivi son évolution réglementaire. Sa durée de validité, fixée à dix ans, a connu des seuils d’expiration pour les rapports les plus anciens : les diagnostics réalisés avant juillet 2021 ne peuvent plus être utilisés, certains étant devenus caduques dès la fin 2022. Désormais, seuls les DPE établis selon les dernières normes sont recevables lors d'une vente ou d'une mise en location. Cette actualisation systématique du DPE s’impose comme une étape incontournable pour les projets immobiliers. Meublés de tourisme : l’obligation d’afficher leur performance énergétique Une avancée majeure de 2025 concerne la location des meublés de tourisme. En application d’une nouvelle disposition législative, les propriétaires souhaitant obtenir une autorisation doivent fournir un DPE valide, sur demande municipale. Ce certificat atteste du classement énergétique du bien, qui conditionne sa mise sur le marché : seuls les logements notés entre A et E sont louables jusqu’en 2034, les catégories A à D prenant le relai au-delà. Cette réglementation incite fortement les bailleurs à améliorer la qualité énergétique de leurs locations saisonnières. L’audit énergétique obligatoire étendu aux biens en monopropriété La règle de l’audit énergétique s’est encore renforcée en 2025. Jusqu’à présent appliquée aux logements classés F ou G, elle vise dorénavant aussi ceux notés E dans le cas des maisons individuelles et des immeubles détenus par un seul propriétaire. Ce contrôle, valable cinq ans, constitue une feuille de route pour cibler et planifier les travaux de rénovation nécessaires. Son extension marque la volonté du législateur d’inciter à l’amélioration continue du parc immobilier. DPE collectif et Projet de Plan Pluriannuel de Travaux : vers des copropriétés mieux suivies L’évaluation énergétique globale s’est généralisée dans les copropriétés : depuis 2024, les immeubles collectifs de plus de 200 lots étaient déjà concernés par le DPE collectif. En 2025, ce dispositif a été élargi : il s’applique à toutes les copropriétés de 50 à 200 lots, favorisant une approche collective des économies d’énergie et de la planification des travaux. En parallèle, le Projet de Plan Pluriannuel de Travaux (PPPT) est dorénavant exigé pour toutes les copropriétés d’habitation de plus de 15 ans, quel que soit leur nombre de lots, avec une extension progressive selon la taille de la copropriété. Ce plan renforce la préparation et la priorisation des interventions, notamment sur le volet énergétique. Les terrains à risque soumis à l’obligation légale de débroussaillement Autre nouveauté en 2025 : l’Obligation Légale de Débroussaillement (OLD) figure à présent dans le dossier des diagnostics, notamment dans les Etats des Risques et Pollutions. Cette mesure concerne les propriétaires de terrains situés dans des zones menacées par les incendies de forêt, leur imposant l’entretien systématique des parcelles concernées. Au-delà de la prévention des sinistres, cette règle vise à renforcer la protection des habitants et de l’environnement. Conséquences pour les acteurs du secteur immobilier Face à ces évolutions, les agents immobiliers, diagnostiqueurs et gestionnaires ont dû ajuster leurs méthodes, en s’assurant d’une parfaite conformité documentaire et d’une vigilance permanente quant à l’évolution de la législation. La rapidité de mise à jour des diagnostics est devenue un gage de sérieux et de sécurité pour toutes les parties impliquées dans une transaction, accentuant le besoin d’expertise fiable. Conclusion : un tournant décisif pour le diagnostic immobilier Avec la multiplication des obligations en 2025, le secteur connaît un bouleversement profond. La nécessité d’anticiper, de se former en continu et d’intégrer ces nouvelles exigences devient l’une des clés pour sécuriser les opérations immobilières et offrir un accompagnement sur mesure aux propriétaires et investisseurs. Ce contexte impose une adaptation constante pour répondre efficacement à un environnement en mutation.

Analyse en laboratoire de l’amiante : pourquoi est-ce essentiel
21 novembre 2025

Analyse en laboratoire de l’amiante : pourquoi est-ce essentiel

La présence persistante de l’amiante dans les bâtiments anciens Bien que l’amiante soit interdit en France depuis 1997, il subsiste largement dans les constructions érigées avant cette date. Son utilisation massive durant le siècle précédent, principalement grâce à ses qualités d’isolant thermique et de matériau résistant, explique sa forte présence dans de nombreux éléments de bâtiment. Les éléments du bâtiment les plus exposés à l’amiante Plusieurs parties d’un immeuble sont particulièrement susceptibles de contenir de l’amiante, notamment : Les isolations thermiques entourant les canalisations et équipements de chauffage : souvent friables, ces habillages sont courants dans les sous-sols, chaufferies et locaux techniques, et peuvent se désagréger avec le temps. Les toitures et bardages composés de plaques en fibrociment : ce matériau, très répandu entre les années 1960 et 1990, se trouve aussi bien sur les toits que sur les façades, sous-faces et différents conduits. Les revêtements de sol, comme les carreaux en vinyle-amiante et leurs adhésifs : utilisés dans de nombreux logements dès les années 1960, ils présentent un risque dès lors qu’ils sont poncés, arrachés ou percés. Pourquoi un simple examen visuel ne suffit pas Malgré certaines caractéristiques distinctives – coloris gris, aspect fibreux, traces d’usure – il est presque impossible d’identifier à l’œil nu la présence d’amiante dans un matériau. De plus, même si l’amiante est emprisonné, une intervention mécanique ou un simple effritement peut libérer des fibres invisibles néfastes pour la santé. L’importance capitale de l’analyse en laboratoire Face à ce risque, une seule méthode apporte une réponse fiable : l’examen en laboratoire spécialisé. Seule cette analyse permet d’établir avec certitude la présence ou l’absence d’amiante dans un échantillon prélevé sur place. Ce diagnostic est d’autant plus essentiel avant toute opération de rénovation, de vente immobilière ou de démolition, car il permet d’adopter les mesures de sécurité appropriées. Quand et comment réaliser un diagnostic amiante ? En France, toute transaction immobilière ou projet de travaux concernant un bâtiment construit avant juillet 1997 impose la réalisation d’un contrôle par un professionnel certifié. Cette démarche vise à : Localiser les matériaux susceptibles de contenir de l’amiante, Examiner leur état de conservation, Préconiser des solutions adaptées (contrôle régulier, retrait ou encapsulage). Conclusion : la sécurité passe par l’analyse Avant toute intervention sur un bâtiment ancien, faire pratiquer une analyse en laboratoire est une précaution indispensable. Cette étape garantit la protection des occupants, des travailleurs et de l’environnement. Il est donc fortement recommandé de solliciter un expert qualifié pour réaliser un diagnostic complet et conforme à la réglementation en vigueur.

Réforme du DPE : comment anticiper la hausse de votre étiquette énergétique
Publié le 24 Septembre 2025

Réforme du DPE : comment anticiper la hausse de votre étiquette énergétique

Comprendre l’évolution du DPE en 2026 À compter du 1er janvier 2026, le mode de calcul du diagnostic de performance énergétique (DPE) connaîtra une transformation notable. Cette modification résulte de l’ajustement du coefficient d’énergie primaire (CEP) de l’électricité, qui passera de 2,3 à 1,9. Cette évolution, officialisée pour le début de l’année 2026, apparaît comme une réelle aubaine pour de nombreux propriétaires de logements chauffés à l’électricité. Selon les prévisions gouvernementales, près de 850 000 habitations vont bénéficier d’un meilleur classement énergétique. Certains logements pourraient gagner une, voire deux classes, en particulier ceux de surface modeste. Corrélativement, la valeur des biens immobiliers équipés de ce mode de chauffage est susceptible d’augmenter. Estimer facilement votre nouvelle étiquette énergétique Pour vous préparer à ces bouleversements, il existe des outils performants permettant d’estimer rapidement votre futur classement DPE. En utilisant un simulateur en ligne, gratuit et pratique, vous pouvez obtenir en quelques clics votre nouvelle note prévue selon la réforme de 2026. Ce type d’outil vous indique immédiatement si votre logement reste classé parmi les passoires thermiques ou si la révision du calcul vous permet d’en sortir. Calculez et découvrez la classe énergétique que vous obtiendrez en 2026. Anticipez la valeur locative ou de vente de votre bien avec des prévisions fiables. Gagnez du temps pour ajuster vos projets immobiliers grâce à une estimation rapide et claire. Pourquoi anticiper ce changement de DPE ? L’évolution du calcul du DPE intervient dans un contexte réglementaire où les logements très énergivores (classes F et G) voient leurs conditions de location de plus en plus encadrées. La loi Climat et Résilience prévoit déjà des restrictions pour ces habitations. C’est pourquoi il est essentiel de prendre les devants : Mettre en valeur son bien et optimiser son attractivité sur le marché. Sécuriser un projet de vente ou de location en connaissant précisément le futur classement. Bénéficier de conseils personnalisés pour améliorer la performance énergétique de son logement si besoin. S’appuyer sur des professionnels pour vos démarches Outre les simulateurs en ligne, il reste recommandé de se tourner vers des experts qualifiés. Un diagnostiqueur certifié saura établir un diagnostic officiel selon la réglementation en vigueur et vous conseiller sur les travaux d’amélioration énergétique à envisager. Ces spécialistes vous accompagnent également pour optimiser la valorisation de votre patrimoine en vue d’une vente ou d’une location à venir. Préparez l’avenir de votre logement dès aujourd’hui La réforme du DPE à venir représente une réelle opportunité, notamment pour les propriétaires de logements électriques. Il est donc pertinent de profiter de ces outils d’estimation gratuits et de s’informer auprès de professionnels compétents. De cette manière, vous pourrez anticiper la nouvelle donne, valoriser votre bien immobilier et planifier sereinement vos futurs projets. Pour obtenir dès maintenant une estimation personnalisée de votre nouvelle étiquette DPE, n’hésitez pas à recourir à un simulateur dédié accessible en ligne.

Logements : vos classes énergétiques vont-elles changer en 2026
Publié le 06 Août 2025

Logements : vos classes énergétiques vont-elles changer en 2026

Un nouveau calcul du diagnostic de performance énergétique Le gouvernement prévoit un changement dans la méthode d’évaluation des performances énergétiques des habitations : dès le 1er janvier 2026, le coefficient de conversion de l’électricité utilisé pour établir le DPE (diagnostic de performance énergétique) passera de 2,3 à 1,9. Cette modification vise à harmoniser la réglementation française avec les recommandations européennes et à prendre en compte l’évolution du mix énergétique, qui comporte désormais une part croissante d’électricité issue des énergies renouvelables. Des conséquences directes pour de nombreux logements Bien que suscitant peu d’intérêt au premier abord, cette modification technique se traduira par des répercussions concrètes sur le terrain : Les biens chauffés à l’électricité verront leur performance énergétique automatiquement réévaluée à la hausse, sans intervention physique ni travaux à effectuer. Environ 850 000 logements actuellement considérés comme « passoires thermiques » échapperont à ce classement uniquement grâce au changement de calcul. Cette évolution risque de favoriser une orientation excessive vers l’électricité, au détriment d’autres solutions telles que les pompes à chaleur hybrides, les chaudières fonctionnant au biogaz ou les dispositifs collectifs utilisant de l’eau chaude. Les classements du DPE s’écarteront davantage de la réalité des dépenses d’énergie des occupants, qui sont toujours liées à l’énergie finale consommée. Pour les bailleurs, une amélioration de classe énergétique sans investissement pourrait réduire l’attrait pour les travaux de rénovation, freinant l’élan pour la transition énergétique amorcé ces dernières années. Le secteur du bâtiment s’interroge Ce changement suscite des inquiétudes chez les entreprises du secteur de la rénovation et chez les associations professionnelles, notamment la CAPEB. Elles craignent que cette réforme : pénalise les artisans investis dans des rénovations ambitieuses et efficaces, complique la compréhension des ménages face à l’évolution des critères, ralentisse les efforts visant à réduire les émissions de carbone du parc immobilier, comme le prévoit la Stratégie Nationale Bas Carbone. Un appel à la cohérence pour la rénovation énergétique Il apparaît désormais indispensable d’assurer la clarté, l’équité et la stabilité des outils réglementaires comme le DPE. Les professionnels souhaitent que toute réforme importante fasse l’objet d’une réflexion approfondie pour s’assurer qu’elle ne freine ni la dynamique de rénovation, ni les objectifs environnementaux. Les acteurs du secteur continueront, malgré tout, à accompagner particuliers et collectivités dans la transition énergétique, en privilégiant une approche rigoureuse et pédagogique pour un habitat plus durable et performant.